La revue scientifique nature publie fin janvier 2017 les conclusions d’une étude sur les conditions de vie de l’homme de Neandertal. Ses conclusions édifiantes révèlent que notre ancêtre pratiquait l’automédication. Evidemment, c’est à base de plantes (et plus particulièrement par la Gemmothérapie, médecine des bourgeons) qu’il se soignait.
Un des individus étudiés souffrait d’un abcès dentaire. Pour soulager la douleur, cet homme aurait ingurgité des bourgeons de peupliers et de moisissure herbeuse.
Du peuplier comme aspirine
« Le peuplier renferme de l’acide salicylique, le principe actif de l’aspirine, explique Laura Weyrich, responsable de l’étude, tandis que cette moisissure herbeuse, elle, contenait de la pénicilline, le premier antibiotique jamais synthétisé ! ».
C’est l’étude des traces ADN contenus dans la plaque dentaire de quatre fossiles qui a amené les scientifiques à cette conclusion. Une observation qui conduit les chercheurs à penser que l’homme de Neandertal a intégré intentionnellement certaines substances naturelles à son régime alimentaire.
L’hygiène de vie en prévention
Plus qu’un traitement d’appoint, ce sont ici les prémices d’une hygiène de vie et d’un soin sur le long terme qui ont été découverts.
Si on osait, on dirait même que Neandertal était naturopathe!
Christine, Journaliste, pour le Lab.
NATUROPATHIE LE LAB - 13170 Les Pennes-Mirabeau